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Nouveautés

«La Terre se meurt»
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G. Fournet
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« Les joies nues »
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G. Fournet
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« Là, offerte la Vie en nous »
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« Le bouquet dans la véranda »
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« Le jeune homme au jardin »
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« Nature morte au chat bleu »
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« La plage ou Vivre »
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« Les oliviers d’Assise »
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« La petite aventurière »
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« La conversation secrète »
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« Le sofa »
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« Au bord du vide, ton corps…. »
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« Juliana »
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« De terre et de Lumière »
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« Libres »
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Sous le soleil de l’Autre
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« Danse avec la nuit »
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« Mains du mystère quel chant profond vous anime ? »
« Mains du mystère
quel chant profond
vous anime ? »
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« Le Bouquet d'Anémones »
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« Les Amaryllis »
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Camargue en hiver
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« L'oiseau qui se pose sur l'arbre est oiseau de toutes ses ailes Toute en couleur toute en parfum la fleur ignore l'ironie le souvenir, la nostalgie.......Mais moi que voulez-vous que je dise de moiJe ne vis qu'une fois mais c'est toujours ailleurs......... »
« L'oiseau qui se pose sur l'arbre
est oiseau de toutes ses ailes
Toute en couleur toute en parfum
la fleur ignore l'ironie
le souvenir, la nostalgie.......

Mais moi que voulez-vous que je dise de moi
Je ne vis qu'une fois mais c'est toujours ailleurs......... »
Claude Roy, Poésies, Mille morts
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« Telle la vie En ses milliards de formes La Fleur pullule La Fleur m’échappe La Fleur m’éblouit.»
« Telle la vie
En ses milliards de formes
La Fleur pullule
La Fleur m’échappe
La Fleur m’éblouit.»
Andrée Chedid, Rythmes, Émerveillements, La Fleur 1
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« Bâtis d’eau d’étoiles Et d’une étrange chimie Voués aux mutations Fluides ou marécageuses Voguant entre des berges Ou bien à la dérive Nous sommes les éphémères Nous sommes les permanents. »
« Bâtis d’eau d’étoiles
Et d’une étrange chimie
Voués aux mutations
Fluides ou marécageuses
Voguant entre des berges
Ou bien à la dérive
Nous sommes les éphémères
Nous sommes les permanents. »
Andrée Chedid, Rythmes, L’eau
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«Les vieux murs… Rugueux et tendres Ils épousent les ans S’allient aux feuillages Nos rêves s’y agrippent Et les traversent Parfois….
«Les vieux murs…
Rugueux et tendres
Ils épousent les ans
S’allient aux feuillages
Nos rêves s’y agrippent
Et les traversent
Parfois…."
Andrée Chedid, Pierres, Rythmes.
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« C’est toujours comme si À travers la lumière Tu voulais atteindre Une autre lumière Qui te porterait. »
« C’est toujours comme si
À travers la lumière
Tu voulais atteindre
Une autre lumière
Qui te porterait. »
Eugène Guillevic, Hôtes de la lumière, Possibles futurs.
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« Oser encore recourir à l’espoir Oser encore Porter l’instant et le rendre à lui-même Répondre quel qu’il soit Au baiser de la terre Vouloir ce plus loin dont on ne sait le nom. »
« Oser encore recourir à l’espoir
Oser encore

Porter l’instant et le rendre à lui-même
Répondre quel qu’il soit
Au baiser de la terre
Vouloir ce plus loin dont on ne sait le nom. »
Andrée Chedid, Contre-chant, Salaire de l'instant.
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La sortie du Jardin
La sortie du Jardin
Andrée Chedid, Seconde vie, Icare, textes pour le vivant.
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"Ni du limon , ni de l'étoile,
Nous tenons de l'un et de l'autre à la fois."
Andrée Chedid, Au midi des contradictions, Terre et Poésie.
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